« L’art moderne et l’art contemporain se caractérisant à la fois par une débauche de matériaux nouveaux, incongrus ou « innommables », et par l’exténuation de ceux-ci jusqu’à l’invisible, il était urgent de prendre en compte cette dimension fondamentale de la matière et du rapport que les artistes entretiennent avec leurs matériaux.[1] »
« […] la transparence, le verre, le plastique, l’apesanteur et la vision icarienne qui fut celle de Duchamp, de Klein, de Beuys, le plastique, la cire, l’empreinte, l’informe, la poussière, « Hors limite » », etc. Hors des chemins battus et rebattus. [2]»
[1] Florence de Mèredieu,Histoire matérielle et immatérielle de l’art moderne et contemporain,Larousse In extenso, troisième édition, Paris, 2008. p.13.
[2] Florence de Mèredieu,Histoire matérielle et immatérielle de l’art moderne et contemporain,Larousse In extenso, troisième édition, Paris, 2008. p.20.
Photographies d’installation
Parallel Univers, 2016
2 vidéoprojections du film Interstellar de Christopher Nolan, se faisant face, considération extrême du système écranique sur photons.
120 x 250 x 100
Ou comment considérer l’élément (photon) projeté sur lui même comme moyen de se révéler, d’être un écran.